Blog de JP Gouigoux

27/10/2016

Détails de la toiture en zinc de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 12:43
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Suite à un commentaire sur la page Toit en zinc pour la roulotte, voici quelques photos de plus pour détailler la finition de la toiture (cliquez sur les photos pour la version en haute définition).

La vue arrière pour faire voir les pliures dans la feuille de zinc, nécessaires pour donner un arrondi. Le métal est tordu en retour sur l’arrière pour que les deux parties soient solidaires tout en coulissant un peu. Au besoin, si l’arrondi est plus fort, réaliser des entailles un peu plus rapprochées.

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Ensuite le détail du rapprochement des deux bacs : pas de soudure, tout est assemblé par pliage à froid. La double pliure assure l’étanchéité de l’ensemble. Sur cette photo, on voit bien la première épaisseur de métal qui est celle provenant de la rive (avec emboitement sur au moins 8 cms pour être étanche) ainsi que la seconde qui correspond aux bacs qui sont posés sur le toit. Une petite découpe dans le métal (attention à ne pas aller trop loin avec la cisaille) permet de replier la bordure sur la rive au niveau du plat, et de laisser dépasser un peu au niveau de l’assemblage des deux bacs, ce qui fait que la goutte d’eau est rejetée un peu plus loin. L’article initial montrait la pliure à réaliser à la pince plate.

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La photo suivante est prise du dessous pour qu’on puisse voir la jointure des deux rives en angle. Les feuilles sont repliées vers le bas l’une après l’autre. La rive arrondie est complètement repliée. La rive de côté est plus haute, et se finit par un retour, qui permet de mieux évacuer la goutte d’eau.

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Sur la photo ci-après, on passe au coin de devant, ce qui permet de repérer comment se fait la même pliure que décrite précédemment, mais sur un autre angle.

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Enfin, toujours de devant, comme on le voit avec la frise, les pliures de la bordure de face sont bien visibles à nouveau :

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J’espère que ceci suffira pour répondre aux questions. Si ce n’est pas le cas, faites-moi signe dans les commentaires en m’indiquant précisément ce que vous souhaitez que je photographie.

01/08/2010

Protégé : Inauguration de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 9:49

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30/07/2010

Budget total pour la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 1:51

Plusieurs personnes m’ont demandé le budget pour la roulotte, donc voici le décompte :

Huisseries : la fenêtre du fond est de la récupération, ainsi que la porte. Les deux fenêtres de côté ont été achetées dans un dépôt de dégriffage, à 45 € l’unité.

Parquet châtaignier : 484,67 € (9,03 m²)

Lambris châtaignier : 1018,04 € (35 m²)

Madriers + Chevrons + Contreplaqué + OSB : 957,47 €

Clin Red Cedar (28 m²) : 1331,57 €

Bacs zinc + Profilés zinc + Pattes de fixation + fournitures toit : 1228,83 €

Volige : 44,23 €

Montants : récupération

Roues : données par les parrain et marraine de la roulotte. Si vous les achetez, je pense qu’il faut prévoir quelques centaines d’euros pour en acquérir d’aussi belles.

Isolant chanvre : autour de 300 €, je n’ai plus la facture.

Clous, vis autoforantes, colle, peintures, fournitures diverses et variées : compter 150 €

Je ne pense pas avoir oublié un truc important pour le gros œuvre, donc ça nous donne autour de 5600 € TTC.

Je vous laisse faire une petite recherche sur internet pour voir le prix d’une roulotte déjà construite. Pour ma part, j’en ai trouvé entre 35 000 et 55 000 €, mais elles étaient un peu plus grosses, et le site ne disait pas grand chose sur le degré de qualité et de finition, donc on ne peut pas vraiment comparer.

En ce qui concerne le temps passé, on peut compter un jour par semaine depuis février en moyenne, avec quelques journées où il faut avoir une deuxième paire de bras (montage du châssis, des montants et des sablières), donc une bonne vingtaine de grosses journées.

La mini-roulotte…

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 1:31

Il me restait quelques heures avant la pendaison de crémaillère ce soir, voici le résultat :

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Tout à part les roues a été réalisé avec les chutes des mêmes matériaux que la grande : zinc pour le toit, Red Cedar pour les murs extérieurs, CP pour le plancher, et sapin pour le châssis…

On s’amuse comme on peut 🙂

14/07/2010

Aménagement de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 8:22

Bon, moi, je ne suis théoriquement plus concerné, mais j’aide évidemment toujours à bricoler, je ne vais pas laisser ma belle faire tout toute seule. Et je suis aussi de blog, alors voici, en exclusivité mondiale, les premières photos de l’intérieur de la roulotte. Avis aux âmes sensibles, on est dans le kitsch rococo flamboyant. C’est un style… nouveau…

Un petit meuble de coin chiné dans le coin, et sur lequel il n’y a rien eu à refaire (un scandale), et quelques beaux cadres avec des photos de Gitanes.

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Le coin dodo :

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Il ne manque plus que la boule de cristal sur la table, et on y est !

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Allez, avouez que vous n’avez jamais vu une poubelle en fonte de 40 kilos…

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Et une fois le rideau tiré, on est peinard. Les enfants adorent venir dans la roulotte, et quand ils vont pouvoir venir faire la sieste et regarder le film de l’après-midi (on a récupéré une mini télévision), je pense qu’on ne les verra plus de la journée !

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On a réorganisé un peu tout, mais pas le temps de faire des photos fraîches pour ce soir…

27/06/2010

Roulotte terminée !

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 9:46

Ca y est : je m’étais engagé pour une livraison brut de bois au 30 juin. Nous sommes le 27 à 23h00, et je viens juste de terminer la dernière étape de la construction de la roulotte, à savoir les escaliers.

Hier, j’avais commencé à préparer les bastaings pour l’escalier, mais voici le détail de la construction.

Les encoches ont été réalisées à la défonceuse. On est obligé d’avoir quatre pas de marche, car il y a presque un mètre à monter. Déjà, 25 cm, ça fait une bonne marche. Et il faut des bastaings assez larges, car j’ai choisi de faire l’escalier à 45°. Ce serait à refaire, je ferai un angle un peu plus prononcé. Ca serait plus beau, et ça éviterait l’écart entre les marches, qui est limite. Pour nous, ça va, mais il faudra bien dire aux petits de faire attention…

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Une fois tout mis en place “à blanc” pour vérifier que ça passe sans forcer, on peut mettre les patins en zinc sur les pieds. Ca permet de se servir de la chute de zinc du toit qui avait été récupérée pour un objectif de longue durée des pieds. En effet, ils seraient sinon directement au contact de la terre, et ce n’est pas le top pour le bois, surtout du bête sapin.

Bref, on commence par clouer les bords extérieurs d’une bande de zinc sur les pieds de l’escalier :

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Ensuite, un bon coup de silicone pour étanchéifier toutes les coutures de zinc, et le contact bois en haut, et on peut clouer les côtés une fois pliés :

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Ce n’est pas du grand art, mais ça rallongera la durée de vie des pieds de quelques bonnes années.

On assemble ensuite les deux morceaux autour des marches, et on fixe l’escalier dans les bastaings de la terrasse par le dessus et le dessous de chaque côté.

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Après, on peut faire la finition de la terrasse :

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Une latte de lambris retaillée tout le tour, et une deuxième pour cacher les cotés des bastaings. Tant qu’on y est, fixation de la butée de porte : un système à ressort pour que les petits ne cassent pas la porte en l’ouvrant comme des ostrogoths ou en la laissant battre au vent.

Et la cerise sur le gâteau : le montage des petites lumières extérieures sur les supports en fer forgé. Je prends la photo sans flash pour qu’on voit l’éclairage, mais il est tard alors il y a un  peu de flou d’exposition.

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Les yeux aiguisés noteront que l’escalier n’est pas placé au milieu. C’est fait exprès pour que la butée de porte soit sur l’escalier, de façon à être le moins visible possible. Et au lieu de rétrécir l’escalier, ma moitié a préféré jouer la sécurité quand les enfants se pousseront pour arriver le premier dans la roulotte.

Voilà, c’est la fin de mon contrat : la roulotte est construite, et il ne reste qu’à emménager. Il est évident que je donnerai un coup de main et que je vous mettrai les toutes dernières photos. Je suis sûr que du côté de l’Ariège, vous allez adorer la décoration que les deux filles nous concoctent !

Je pense que la première chose à mettre en place sera le lit. Du coup, le bricolage n’est pas fini, vu qu’il faut retailler une planche en bois pour assembler le lit. Ce n’est pas encore le week-end prochain que je vais fainéanter dans le hamac.

26/06/2010

Mise en place de la terrasse de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 9:22

Je sais que ça aurait plutôt été logique de faire ça dès le début pour faciliter l’accès, mais la terrasse se retrouve faite tout à la fin…

La recette est la suivante : prendre deux bons bastaings de 20, histoire d’être sûr de ne pas avoir de problème de solidité. Oui, c’est peut-être un peu surdimensionné, mais il vaut mieux ça que l’inverse.

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Bien laisser un jour entre le clin et le bois de la terrasse, pour que la pluie ne stagne pas entre les deux.

Ensuite, ajuster la hauteur en rabotant les embouts des bastaings, et en présentant avec le lambris pour ne pas avoir de problème d’ouverture de porte.

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Mettre deux-trois pointes dans chaque bastaing. Ne pas hésiter à bien les passer à la meule, parce que si ils sont vieux, ils ont toujours un peu tendance à se tordre et il faut que ce soit bien plat pour que le lambris pose bien.

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On peut ensuite commencer le lambris, en l’utilisant comme plancher. On démarre à la porte pour que les coupes soient reportées à l’extérieur, où elles sont moins visibles.

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Non, les marteaux n’ont pas été posés là pour faire de la publicité 🙂 Par contre, je ne sais pas si j’en ai déjà parlé, mais si vous faites un gros bricolage comme une roulotte, je ne peux que conseiller d’investir dans un manche en graphite : le confort est extraordinaire. Avant, un marteau était un marteau, point barre. Maintenant, si je vais bricoler chez quelqu’un, j’amène MON marteau tellement il est plus agréable et moins fatigant à utiliser.

Pour en revenir à la construction, le lambris a été posé en dépassant, et ensuite un bon coup de scie circulaire tout du long après avoir tout pointé, de façon à avoir une coupe nickel.

Et le matin, j’avais posé les baguettes autour des fenêtres : du quart-de-rond en chêne pour les fenêtres de côté et de la bande plate retaillée à mesure pour la fenêtre du fond.

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La première LED pendouille : il faut que je fixe les deux, mais je ne pourrai le faire que quand ma chère et tendre aura fait la reprise de vernis derrière !

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Voilà pour ce petit samedi (vu que ce soir, on est de sortie). La fin demain, et à priori, ce sera tout terminé !

24/06/2010

Lambris de la roulotte terminé !

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 9:27

Ca y est : c’était certainement la tâche la plus longue, et la plus répétitive, mais c’est terminé, et ça jette comme je l’avais imaginé.

Le matin, fin du toit, et l’après-midi, la descente de mur, jusqu’aux deux dernières lattes à rentrer en force, et qui auront pris une heure à elles toutes seules.

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Je suis assez content de la finition, au micro-poil. Bon, avec un peu de chance aussi, il faut avouer…

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Au milieu de la roulotte, comme le plancher n’est pas parfaitement droit, il y a à peine un ou deux millimètres de jour, donc ça tombe vraiment bien. Si c’était à refaire, toutefois, je calculerais pour tomber sur une demie-latte pour ne pas prendre de risque de tomber sur une coupe impossible. Là, quelques millimètres de plus et j’étais dans la panade, car j’aurais été obligé de découper une latte de moins d’un centimètre, et pour la faire rentrer en force sans la casser, ça aurait été dur…

Fin d’après-midi et soirée pour l’autre côté du mur, et à la fin, c’est fini. Comme d’habitude, la dernière photo est au flash 🙂

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Ma petite femme vernit le lambris demain. Les lustres ont été gentiment posés par mon beau-frère, à qui j’avais pourtant juste demandé de vérifier que l’électricité était OK. Ce week-end, j’ai une journée, voire deux si besoin, pour simplement faire la terrasse et l’escalier, et poser les luminaires extérieurs avec leurs accroches. Et puis à l’intérieur, je vais faire du hors-contrat, à savoir les baguettes de finition des fenêtres. Mais avec un peu de chance, je n’aurai besoin que d’une journée pour tout ça, et je crois donc qu’on peut dire qu’à part coup de pas de chance, j’aurai tenu mes délais. Je devais livrer brut de bois le 30 juin. Il me reste quasiment une semaine avec deux journées de boulot complètes possibles, et je n’en ai que pour… allez, 10 heures à tout péter.

Je continuerai évidemment à bloguer sur la roulotte, mais après un prochain article sur les sujets cités plus haut, ça sera sur la déco. A bientôt pour mes fidèles auditeurs !

19/06/2010

Lambris au plafond de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 10:05

Bon, je n’ai pas passé toute la journée à renforcer les essieux, heureusement. Et malgré la préparation de la kermesse, il restait du temps pour la roulotte. Plutôt que de faire le plus facile, à savoir descendre bêtement le lambris jusqu’en bas sans avoir à réfléchir, je préférai faire tout de suite ce qui pouvait poser problème, à savoir commencer le lambris au plafond. Après plusieurs essais, avec des équerres, des pointes en biais, etc., la meilleure solution que j’ai trouvée consiste à fixer aux pointes une planche en position centrale, planche dans laquelle j’ai creusé une gorge à la défonceuse, de façon à pouvoir insérer du lambris des deux côtés.

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Je ne dis pas que c’est le mieux à faire, et il y a certainement moyen de faire sans aucune pointe apparente, mais j’ai préféré jouer la sécurité avec quelque chose de super solide plutôt que de prendre des risques d’affaissement.

Pas beaucoup de temps pour faire plus aujourd’hui, donc ça se finit vers 22h00, avec à peine la moitié d’un rampant réalisée, mais ce n’est pas facile à fixer comme ça… En plus, quand on tape au marteau, ça soulève toute la poussière de chanvre, qui tombe directement dans les yeux grands ouverts pour ne pas se taper sur les doigts en clouant l’agrafe.

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En tout cas, la planche centrale est bien fixée, et les deux côtés ont été commencés, et ce sans écart par rapport au cordeau, donc c’est bien commencé, et c’est l’essentiel : quand ça part bien droit, en général, le plus dur est passé. Reste juste à finir car le plafond et les deux murs sont commencés, mais rien n’est fini.

Après ça, vernissage, pose des appliques et l’intérieur sera fini, en tout cas pour mon contrat pour le 30 juin. Il restera juste la terrasse et les escaliers. Avec un autre RTT cette semaine et le week-end prochain, ça devrait passer… Je vais quand même me faire quelques bonnes soirées à bosser cette semaine pour finir le lambris. 

Renforcement des essieux de la roulotte

Filed under: Roulotte — jpgouigoux @ 9:35

Bon, j’ai eu quelques jours pour réfléchir à la (meilleure ?) façon de faire pour renforcer les essieux de la roulotte. Compte-rendu à la méthode ingénieur :

Exposé du problème

Les essieux flambent de plus de 1% de la longueur. Pas de risque de cassure, mais risque d’affaissement progressif, la barre choisie étant finalement trop faible pour compenser totalement et dans la durée la force de levier des moyeux de roues.

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Traduction

Le responsable (moi) s’est trompé dans ses calculs (approximations)

Résultat

Il faut renforcer. En mode Guernic, ça veut dire bourriner avec du bon gros métal pour pouvoir assoir un ours dessus s’il faut.

Solution

Mettre une cornière en U derrière l’essieu existant pour renforcer, si possible en relevant un peu pour être plus à l’horizontale et commencer à appuyer sur la cornière au lieu de l’essieu existant, de façon à ne pas attendre de flamber plus pour que la nouvelle barre prenne le relai.

Etape 1

Récupérer un bon gros bout de métal. Ceci devrait faire l’affaire, et même au-delà :

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Etape 2

Après avoir décapé la vieille peinture et meulé l’essieu de remplacement à la bonne longueur, le placer derrière celui à remplacer, ou plutôt assister :

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Coup de bol : ça rentre. En forçant un poil, mais en tout cas, ça rentre bien.

Etape 3

Assembler les deux essieux pour ne pas que le nouveau se retire de son emplacement. Pour cela, on agrandit un peu les trous de plaques de métal, et on fait un petit étau à l’ancienne, comme sur les châssis de chariots à cheval :

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Pas besoin de serrer comme un fou, vu qu’il n’y aura pas d’efforts dans ce sens à part le poids de l’essieu si il avait tendance à partir en arrière, ce qui n’est même pas le cas par ailleurs. Pour plus de sécurité, on mettra deux coups de feuillards vers les roues, là où ça se verra moins.

Etape 4

Soulever l’ensemble pour aligner à peu près les deux essieux :

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Etape 5

Trouver des bouts de métal pour bloquer les espaces vers les roues. Des axes carrés de poignées de fenêtres vont faire parfaitement l’affaire.

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Etape 6

Une fois les cales mises en place, redescendre le tout. Faire danser un ours dessus pour vérifier la solidité. En cas d’absence d’ours, demander à toute la famille de venir sauter sur le plancher, ce qu’on fera pour la crémaillère dans quelques mois. Ou tout simplement, laisser sa femme mettre tous les meubles qu’elle veut dedans : si ça tient, ça tiendra tout 🙂

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Conclusion

Vue la solidité des nouveaux axes, plus de souci à se faire. Encore une mission de canard accomplie !

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